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Eikomania

Le journal qui provoque le débat sur la société + les créateurs, qui se questionne sur le fait d'être acteur de ses propres stories et propose de ne pas être seulement un simple spectateur. Parce que la réalité dépasse souvent la fiction et que les histoires insolites existent ! Alors innovons et créons ensemble.

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Les contes ont-ils des connotations cachées et des propos sous-jacents ?

@eikomania.me x Anha S.L


À l'occasion de la journée nationale des contes qui s'est déroulée le 20 mars dernier, j'ai eu l'occasion de réaliser la couverture pour un petit webzine nommé G.R.I.M.M. C'est l'une des lectrices d'Eikomania qui m'a proposée ce projet et j'ai dit : "oui" ! De plus, je suis vraiment attachée à ces histoires et ça me rappelle à quel point, cela a alimenté mon imaginaire. 

J'ai commencé mon histoire d'amour avec les contes en publiant mon premier roman "L'Héritière du Panthéon" aux Éditions du Panthéon, en 2013, à la fin de mon année de terminale. J'avais 16 ans et j'étais fière d'avoir pu aller jusqu'au bout d'un tel projet. Pour moi, ce n'était pas réalisable et pourtant, tout ce que j'ai entrepris jusqu'à présent, s'est réalisé. C'est idiot à dire et ça sent la phrase toute faite provenant d'un roman de gare, mais quand on croit dur comme fer à ce que l'on fait et à ses rêves/convictions, on peut tout accomplir. 

Pour les contes de fées, c'est exactement la même chose. La/le protagoniste fait confiance à sa destinée et à chaque fois, malgré les péripéties de la vie, finit toujours par connaître un happy-ending. Mais la réalité des contes n'est pas vraiment la nôtre. 

On la romance, l'idéalise et parfois, cela fausse notre jugement. Plus on lit ces histoires, plus notre vision des choses tend à être romantique. Sauf lorsque l'on affronte réellement certaines étapes plus ou moins douloureuses, on se rend à quel point, le storytelling des contes est totalement utopique voire inexistant. 

D'ailleurs, ces histoires ont été remaniées pour que cela soit accessible à un large public. Parce qu'au final, on se rend compte que certains contes sont beaucoup plus sombres que leur version retapée à la machine par le géant, Walt Disney

Malgré l'euphorie, croyons-nous vraiment que tout ce schéma assez mécanique et répétitif imposé dans les contes est réaliste ? 

☀️

Oui. La vie, c'est des ups and downs répétitifs et successifs, nous sommes les Héros de notre propre conte. 

Il est vrai que tous ces princes au sourire Colgate et ces princesses qui chantent avec des oiseaux et des lapins sauvages ont peut-être tendance à nous exaspérer ou alors à l'inverse, nous faire gentiment sourire. Même si nous avons été formatés par la société et que nous savons désormais que le "Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants" n'existe pas vraiment, nous espérons toujours de trouver la chaussure de nos rêves, telle une Cendrillon qui, dans la version dark de l'histoire, se marie avec son bel et tendre mais qui inflige une sentence atroce à sa belle-mère et à ses soeurettes...

Comme quoi, il faut toujours se méfier de l'eau qui dort. Généralement, on dit que ce sont celles.ceux qui en disent le moins, qui en font le plus. Les princesses/princes en sont la preuve même. Malgré leur physique qui en ferait rougir plus d'un.e, ils/elles peuvent se montrer assez barbares, incestueux ou comme le prince Philipe dans la Belle Au Bois Dormant, qui est décrit comme un pur violeur. 

Ce n'est pas mieux que Peau D'Âne, qui met en scène l'histoire d'un père qui veut épouser sa fille. Il y a certains débats qui disent qu'un tel film – évoquant ouvertement l'inceste – n'aurait jamais été produit par le CNC et autres institutions publiques en 2021. C'est totalement vrai. Cependant, si l'on commence à boycotter tous les contes de l'époque à la morale plus que douteuse, je pense qu'il n'y aurait plus d'ouvrages et que la liberté d'expression n'existerait plus

Alors même si certaines oeuvres/films sont plus que détestables, cela fait partie de la vie et de notre patrimoine culturel qui souffre énormément en ce moment. 

Évidemment, il suffit de faire la part des choses. Je pense sincèrement que chaque film, livre ou autre apporte une leçon de vie sous-jacente et bien cachée, parfois, certes inadaptée par rapport à notre époque, mais cela amène une certaine réflexion sur la vie ou notre être tout entier

Mine de rien, les contes — version dark ou idéalisée – nous montrent l'horrible visage d'une société méchante, vicieuse et abjecte. La jalousie est évoquée car, elle créée des discordes entre les humains. La beauté, la richesse, le pouvoir... Tous ces aspects sont mis en avant et on ne se demande plus pourquoi. L'argent a toujours été source de conflits et tout ce qui est à l'extérieur est généralement pointé du doigt. 

Nous vivons effectivement dans une Société plus que superficielle et ce, depuis la nuit des temps. C'est pourquoi, dans chaque conte, nous avons un.e protagoniste qui essaye de se détacher de cette emprise pour être simplement heureux.se ! Et c'est très bien d'avoir ce genre d'état d'esprit dans un monde où il n'y a que 4% de personnes sympas contre 96% de personnes maudits. 

J'avoue, j'exagère en terme de pourcentage – et moi-même je ne suis pas un exemple – , cependant, je pense sincèrement que la gentillesse se perd dans cette société où l'individualisme et la superficialité (due aux réseaux sociaux) sont à leur apogée. De toute façon, qu'on se le dise, toute histoire est portée sur la sexualité qu'importe l'époque, le lieu ou les moeurs. Triste nouvelle et triste fin...

🔥


🌟

Non. Entre formatage et mensonges, les contes nous mettent des oeillères et la chute est plus que fracassante. 

Sans revenir aux versions dark, dont celle de Pinocchio ou de Peter Pan, qui sont atroces, il est vrai que nous sommes plongés dans ces utopies à la morale écoeurante. 

Étant petits, plus on essaye de devenir une meilleure version de nous-mêmes, plus on nous met des bâtons dans les roues, plus on tente de croire à l'happy-ending. Alors même si l'on s'identifie et que l'on tente d'être comme l'héroïne qui a fait la couverture deVogue avec 7 nains de jardin, on se dit que de se prendre des coups en permanence, n'est pas la solution. Alors, on se renferme et notre coeur a tendance à se noircir puis à devenir un gros tas de charbon qui se réduit, d'années en années, en un vieux amas de cendres. 

Même si on tend à dire que les adultes sont plus que cruels, où sont les parents ? Sont-ils aussi pourris voire plus que leur progéniture ? Sûrement. Généralement, le coeur des "adultes" est rongé par tous les aspects évoqués dans les contes : jalousie et vice ne font pas bon ménage et cela engendre parfois des conséquences au résultat irréversible. 

On grandit avec cette idée de réussir, d'aimer et de fonder une famille. C'est devenu la norme. C'est bien cool de respecter ce schéma, seulement, nous ne sommes plus en 1930 et sommes assez libres, d'aimer et de faire ce que bon nous semble. 

Dans une société où tout est formaté, il est difficile de trouver sa place et d'imposer sa personnalité et ses idées. Parce que mine de rien, être un prince ou une princesse est un job à plein temps. À part Stéphanie de Monaco, qui aimerait l'être à l'heure actuelle ? Personne. Ou alors, peut-être pour les arrivistes ou les personnes vénales, qui ont soif de popularité et d'aisance, c'est un titre plus que satisfaisant mais qui a quand même des contraintes ultra pénibles

Je ne sais pas à quoi vont ressembler les contes contemporains mais en tout cas, vu que la parole est libérée, que l'on ne s'interdit – presque – plus rien et que les tabous tant sexuels, sociaux ou autre sont à la "mode, j'imagine que les aventures des princes et des princesses vont être plus que rocambolesques. Sauf que bon attendez...

On n'a peut-être pas la forme "classique" du conte comme peuvent l'écrire Charles Perrault ou Hans Christian Andersen, mais nous avons les contes virtuels. Je parle des séries assez romancées qui parlent de notre jeunesse un peu délurée. On peut citer Skins ou plus récemment Euphoria. Ce sont des princesses/princes qui sont contemporain.e.s, et qui ressemblent davantage à notre jeunesse qu'à l'image que peuvent véhiculer ces contes de fées un peu "cul-cul la praline". 

Bon okay, peut-être que de lire :

🌈 Shooter à la MDMA
🌈Faire un gang-bang avant de trouver son âme-soeur
🌈Sniffer un rail de coke
🌈Ne pas se sentir bien dans son corps et ne pas trouver sa réelle identité

etc... 

C'est un peu trash mais pourtant, c'est bel et bien représentatif de notre jeunesse. Mascara dégoulinant, mèche à la Justin Bieber, dragueur à la pelle, mère toxique et père absent... Bienvenus dans le conte 2.0 ! Et aussi, je finirais avec cette série que j'ai pu regarder, il y a de cela 8 ans environ, qui s'appelle "Once Upon A Time". Cela reprend tous les contes de notre enfance en les mélangeant à notre quotidien afin de redistribuer les cartes. C'est flippant, mais ça marche. Alors êtes vous plus fiction ou réalité ? 

🌙

Commentaires

  1. Oh tu as publié aux éditions du Panthéon ? Pourquoi avoir choisi une ME à compte d'auteur ?

    Oh lala ! Par contre je trouve que tu schématises beaucoup trop les contes. Tu devrais lire "Psychanalyse des contes de fées" (chroniqué dans mon dernier article). Les contes c'est loin d'être juste des péripéties et une fin heureuse irréaliste ! Les regarde comme ça, c'est les regarder avec des yeux d'adultes, comme n'importe quelle histoire. Or, les contes ne sont pas n'importe quelle histoire ! Chaque détail a de l'importance et répond aux besoins psychiques des enfants ! Ils ne disent pas du tout aux enfants (ni aux adultes) "la vie sera toujours heureuse" mais "il y a des solutions à tes problèmes". C'est très différent !
    Le fait que les méchants soient punis, dans les contes, est très important, car les enfants ne comprennent pas le pardon : pour eux, celui qui fait une chose méchante doit être puni.

    "si l'on commence à boycotter tous les contes de l'époque à la morale plus que douteuse" : je suis catastrophée ! Les contes de tradition orale transmis pas écrit (j'insiste : je ne parle pas des films, animés, et autre : juste des contes écrits) n'ont pas de morale douteuse ! Au contraire ! Oui, il y a des histoires qui parlent de parents qui veulent se marier avec leurs enfants (dont des versions de Cendrillon, je crois) mais parce qu'on règle en fait les problèmes œdipiens ! Et d'ailleurs, les enfants ne terminent jamais avec leurs parents !
    "La beauté, la richesse, le pouvoir... Tous ces aspects sont mis en avant et on ne se demande plus pourquoi." : ici c'est pareil, c'est beaucoup plus compliqué que ça, en réalité ! La beauté (que l'on trouve chez les personnages féminins comme masculins et c'est particulièrement vrai dans Les Mille et Une Nuits) c'est pour dire la perfection (y compris morale, en fait !) et le fait que les héros veuillent établir leur royaume, c'est pour symboliser le fait d'être maître de sa vie. Il ne s'agit pas de dire aux enfants de devenir président ! D'ailleurs, les enfants ne le comprennent pas comme ça !
    De la même manière, les protagonistes ne cherchent pas le bonheur : ce n'est pas l'histoire de la conquête du bonheur, c'est l'histoire de la conquête de l'intégration psychologique et de l'indépendance face aux parents ! Le "ils vécurent heureux" est juste là pour dire aux enfants qu'ils y a des solutions heureuses à leurs problèmes : mais le but premier c'est de sortir des problèmes !
    "d'aimer et de fonder une famille" : pour le coup le "et eurent beaucoup d'enfants" a été ajouté tardivement, on ne le trouve normalement pas dans les contes, et de toute façon les enfants sont incapables de comprendre ce qu'implique d'avoir des enfants en terme de responsabilité.

    Je trouve ça intéressant que tu cites aussi des films et de la culture pop' ! Mais ces productions-là sont très différentes des contes, en réalité ! Je pense que tu devrais lire "Psychanalyse des contes de fées", tu découvrirais que les contes sont loin d'être "cul-cul la praline" ! ;)

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    1. Aha, oui j'avais 16 ans (et des rêves plein la tête) et on m'a trouvée une maison d'édition que je sentais bien. Je te parlerai de mon expérience un brin mitigée sur ça en MP, si tu veux. Maintenant, je fais ça solo et ça me va, malgré les quelques coquilles un peu présentes. Mais je pense qu'on est humain et que la perfection n'existe pas.

      C'est mon regard de cinéaste/scénariste qui est un peu "dur". C'est drôle, j'en discutais avec un compositeur et effectivement il m'avait parlé d'un ouvrage qui comprend la psychologie des contes etc. Oui, je schématise parce que c'est ce qu'ils m'évoquent surtout en adaptation cinématographique.

      J'entends bien que c'est beaucoup plus complexe que ça. Une simple situation initiale, un E.D, des péripéties, un climax et un happy-end puis un retour vers le monde "normal".

      J'ai lu un article sur justement cette morale un peu douteuse, pardonne-moi. Mais les contes ont un côté hyper dark qui n'est pas évoqué/soulevé. On pourra en débattre en live, je pense que ça sera hyper intéressant vu que nos avis divergent. :) Et heureusement que les enfants ne terminent pas avec leurs parents (cf. Peau d'âne) Après, ce n'est que mon point de vue/ressenti, et je ne suis pas absolument pas une spécialiste de ce genre !

      Non bien sûr qu'on ne dit pas aux enfants de devenir président, mais on n'idéalise pas des gens un peu "hors-norme" (d'ailleurs qu'est-ce que la norme de la beauté etc ?) ! Tout est un peu trop lisse pour moi et c'est que je pointe du doigt ici. D'où peut-être l'aspect trop carré/cartésien.

      Ta réflexion est intéressante, n'hésite pas à m'envoyer d'autres ref, ça m'intrigue :)

      Ah mais pour moi, je ne trouve pas que les contes soient niaiseux. En revanche, ils reprennent une sorte de schéma scénaristique qui est d'ailleurs propre à notre vie. On recherche tous plus ou moins le bonheur, comme les protagonistes des contes, et on cherche à s'en sortir malgré les embûches (comme eux quoi). Après, c'est subjectif et je trouve que depuis que j'ai découvert, il y a quelques années, ces contes (version dark), et bien, je les trouve plus intéressants et plus motivants paradoxalement.

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    2. Oui, je veux bien, je suis curieuse !
      Je te rejoins tout à fait sur la perfection !

      Quel est cet article ? J'aimerais bien le lire, pour le coup !
      En fait, il y a des versions sanglantes des contes, effectivement (normalement, les sœurs de Cendrillon se coupent les pieds ; c'est dans toutes les versions mais Perrault ne l'a pas mis parce que ben... il écrit pour la cour du roi ! alors tu comprends bien qu'on veut pas les dégoûter !) mais justement, cette violence c'est pas de la violence gratuite, ça a un sens (après, je ne parle pas des réécriture de contes pour un public adulte, hein ! on est bien d'accord, je parle seulement des versions traditionnelles pour les enfants !). Et par ailleurs, le fait qu'il n'y ait pas d'image, fait que les enfants peuvent très bien imaginer les choses comme ils veulent. C'est pour ça que dans les contes on dit juste "il lui trancha la tête" par exemple alors que dans un texte adulte, mettons la dark fantasy, l'auteur va y aller à grand renfort de sang qui dégouline, qui gicle, l'odeur qui prend à la gorge, etc. La violence dans les contes permet aussi aux enfants de comprendre ce qu'il y a de violent en eux ! Je te rassure, je ne suis pas spécialiste non plus, mais ça m'intéresse beaucoup et je me dirige vers en apprendre de plus en plus ! (phrase pas très française mais j'espère qu'on voit l'idée ! :P)

      Effectivement, les personnages des contes sont stéréotypés dans le sens où le méchant est complètement méchant et le gentil complètement gentil, où (la plupart du temps, mais pas toujours) le gentil est beau et le méchant est laid. Ça, c'est pour que les enfants s'y retrouvent et puissent s'identifier au héros !

      D'autres réf sur la psychologie des contes je n'en connais pas, par contre il existe aussi des livres d'analyse plus littéraire de "pourquoi un conte fonctionne".

      Ah oui d'accord, je vois ce que tu veux dire !
      C'est tout à fait normal ! Les versions des contes répondent à différents besoins. Je vais reprendre l'exemple que tu as dû voir dans GRIMM si tu l'a lu : on raconte à un enfant la version des frères Grimm du Petit Chaperon Rouge, celle avec le chasseur. Mais tu peux raconter à un ado la version un peu plus sanglante. C'est normal qu'une ado/jeune adulte trouve plus de réponses dans un conte qui cache moins la violence, puisque ça correspond aussi à l'évolution de ton esprit !

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    3. Je t'envoie un MP sur Twitter en fin de semaine à propos de la publi dans une ME comme celle-ci.

      Sinon, l'article c'était sur l'obs : https://bibliobs.nouvelobs.com/en-partenariat-avec-books/20131129.OBS7636/infanticide-inceste-cannibalisme-les-vrais-contes-de-grimm.html

      Mais Topito aussi avait fait un article qui parlait des contes assez darks !

      Oui c'est clair qu'on a besoin d'expliquer aux enfants ce qui est bien ou pas, c'est un peu comme Star Wars qui est assez biblique et manichéen.

      Effectivement, à travers les contes, on peut voir la "morale" à travers un prisme différent, selon l'humeur, le vécu, l'âge et c'est ce qui est intéressant. Aujourd'hui, mon avis est dans cet article. Mais par exemple dans 10 ans, quand j'aurais des enfants (bon, ça n'arrivera jamais ^^), et bien j'aurais une autre approche, peut-être plus maternelle ou douce plutôt que d'avoir une vision à la American Horror Story, ehe !

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    4. En fait, je pense qu'il faut bien distinguer les versions très sombres écrites à destination des adultes (des réécritures, donc) des versions de tradition orales ! C'est très différent !

      Mais par exemple, l'article cite la punition de la méchante reine dans Blanche neige avec les souliers chauffés à blancs : encore une fois, un enfant n'a pas d'image, il sait juste que c'est très chaud et douloureux et en plus, la reine est donc punie par ce qu'elle "voulait faire subir" dans le sens où les chaussures peuvent être vues comme un signe de coquetterie. De même, la sorcière dans Hansel et Grettel finit dans le four alors qu'elle voulait manger les enfants. Les méchants des contes sont souvent punis d'une manière liée à ce qu'ils voulaient faire subir aux héros.
      Bon, je ne peux pas avoir de vrai avis sur cet article puisque je ne peux pas le lire en entier. Mais de ce que j'en ai lu, l'autrice parle plus de l'évolution depuis Grimm jusqu'à maintenant (comment par exemple on passe de jeter une grenouille contre un mur, à l'embrasser (et c'est pour ça qu'il faut se méfier des réécritures de contes !)).

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