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Eikomania.com fête ses cinq ans… et quel chemin parcouru ! Cinq années à observer, déformer et retourner la réalité pour en révéler le ridicule. Nos articles ne sont jamais des faits bruts : ce sont des caricatures, des exagérations volontairement poussées pour faire réfléchir… tout en provoquant quelques grincements de dents. Et si vous vous sentez visé, félicitations : c’est exactement le but.
Rire ou grincer des dents : le dilemme du lecteur
Depuis cinq ans, nous testons vos zygomatiques et vos susceptibilités. Vous riez ? Bravo : vous avez compris que tout est volontairement exagéré. Vous grimacez ? Parfait : cela prouve que nous avons touché là où ça fait mal. Chez Eikomania, être offensé est une médaille invisible… mais ô combien méritée.
Anniversaire des ego froissés
Certains lecteurs n’ont toujours pas compris : se sentir visé par nos articles est la preuve qu’on a trouvé votre talon d’Achille. Si vous êtes touché, c’est que vous êtes concerné. Si vous riez, vous avez survécu à l’épreuve Eikomania et fait un pas de géant dans la lucidité. Après tout, la satire est un révélateur d’absurdités, et votre ego… un excellent jouet.
Millième degré et que la fête continue !
Cinq ans plus tard, la règle reste la même : lire Eikomania au millième degré est indispensable pour apprécier pleinement notre humour corrosif. Dans un monde où l’indignation se vend mieux que la réflexion, c’est votre gilet pare-balles intellectuel. La satire est notre gâteau d’anniversaire, et vos susceptibilités… nos bougies qui flambent.
Cinq ans d’absurde et de piques bien placées
Merci à nos lecteurs : ceux qui rient, ceux qui grincent et ceux qui se reconnaissent (vous savez qui vous êtes). Eikomania.com souffle ses cinq bougies avec la promesse de continuer à viser juste… même si ça froisse quelques ego sur le chemin. Après tout, le millième degré, c’est notre cadeau à vous… et à votre vanité.
C'est moi ou de moins en moins de personne ne tolèrent le second degré ?
— Sᴀᴍ Bᴇɴᴅᴇʀ (@MetalAssBender) April 2, 2024
Entre les réponses au premier degré à chaque tweet humoristique - pas les miens, hein - et les réponses directement agressives à de simples remarques, j'ai l'impression de côtoyer des élèves de CP. pic.twitter.com/X9udqIISAv

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